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dimanche 14 septembre 2014

Pourquoi la beauté n'est pas (que) superficielle

Oyé oyé peuple de poneys.

Entre deux articles make up et autres trucs de meuf, il faut bien réfléchir deux minutes. Et ça tombe bien, depuis quelques semaines quelque chose me trotte en tête. Se maquiller, prendre soin de soi, passer des heures dans la salle de bains, bref tout ce qui trône sur la blogosphère (enfin, rayon blogs beauté évidemment), en vrai c'est pas toujours très bien vu. Et j'aimerais comprendre pourquoi. Comme la modification corporelle ne veut pas forcément dire que tu vas devenir braqueur de mémés sans défense, la beauté n'est pas que superficielle.

Ca c'est moi quand j'ai une nouvelle palette.
(Ca fait longtemps que j'ai pas fait d'argentique tiens.)
Avant de commencer: d'abord, niveau photos/illustrations ça sera assez limité parce que mon PC a été volé avec mon disque dur externe et ma tablette (je t'explique pas le désarroi absolu là). Ensuite, c'est une approche très empirique et personnelle de la question que je vais aborder, je pense qu'il y aurait sociologiquement beaucoup de choses à dire sur le sujet mais je ne me pense pas vraiment qualifiée pour ça.

Je ne parle pas ici de celles qui se contentent d'une crème sur le visage le matin et dont la trousse à maquillage n'est composée en tout et pour tout que d'un crayon et d'un mascara un peu sec. Quoique... Non, je parle pour celles qui, comme moi, passent plus de vingt minutes à se maquiller tous les jours, sont toujours en quête du soin révolutionnaire pour virer les trois points noirs qui pourrissent ton menton alors qu'en vrai, personne ne les voit. Pour celles qui deviennent hystériques à l'annonce d'une nouvelle palette Urban Decay ou une nouvelle collection MAC (ouijesuishystériqueparcequ'UrbanDecaysortlaVice3etmoijetrouvelepackagingtrèsbeau) (etquepourHalloweenMACsortunecollectionduRockyHorrorPictureShow). Pour celles qui traquent les ingrédients dans les shampoings, passent des heures à se faire des masques maisons plus expérimentaux les uns que les autres et à regarder les Youtubeuses parler de leurs derniers achats fringues... Bref, t'as compris que là je te raconte un peu ma vie.

D'ailleurs je vais vite fait t'expliquer mon parcours beauté (promis cette fois ça sera court, enfin, à peu près). Pour se marrer et pour illustrer au mieux mes propos, je vais te mettre des photos qui datent un peu. Le premier qui se fout de ma gueule (GENRE ALIZÉE) je lui pète sa tête (T'AS COMPRIS?).
J'ai toujours aimé le maquillage, je sais pas, c'est rigolo, c'est féminin, tu te barbouilles et tu changes de tête. Même que quand j'avais quelque chose comme 12 ans je voulais devenir maquilleuse. J'avais mon mini vanity offert pour un anniversaire avec mes gloss Debby (j'en avais un passé à la machine d'ailleurs, il était tout trouble avec un goût de lessive mais je le mettais quand m
ême) et mes paillettes en roll-on pour le corps. Ma maman nous a autorisées à nous maquiller à partir de 14 ans, alors j'ai expérimenté. Je te passe la période du crayon marron uniquement dans la muqueuse inférieure qui coule parce que ça me donne un peu envie de pleurer (pourtant j'ai des photos. Mais non.) Puis à 14 ans j'ai essayé les smokys blancs-gris-noirs que je mettais vingt minutes à faire pour aller en soirée, sans mascara ni rien, mais c'était déjà un bon début.

Evolution bonjour. L'avantage de repasser sur un PC pas ouvert depuis trois ans c'est que tu retrouves plein de vielles photos.
 La coupe caniche accidentelle de mes 14 ans c'est cadeau ça sort de mon Skyblog.
Ceci est la raison pour laquelle je ne vais plus chez le coiffeur depuis.

Puis vers 15 ans, j'ai découvert l'eye liner liquide. J'en ai toujours eu depuis, et je pense que ça me suivra dans la tombe (notez: dites au thanatopracteur qui s'occupera de moi de me faire mon trait de liner, merci). Mais comme au lycée je me levais 15 minutes avant de partir parce que je suis une larve, j'ai jamais trop pris le temps d'expérimenter. Puis je suis arrivée en prépa où j'ai commencé à mettre de l'eye liner à peu près régulièrement, mais seulement et uniquement ça, à 17 ans donc. Puis à 18 ans je suis arrivée à la fac, j'ai commencé à avoir du temps le matin (comprenez j'arrivais une heure en retard en cours) alors c'était parti. J'ai commencé à regarder des vidéos pour apprendre à faire un smoky dark (faut bien quelque chose pour aller avec le perfecto) et je l'ai adopté pour 100 ans environ. J'ai même cru mourir quand Bourjois a dit qu'ils arrêteraient leurs ombres stretch.

Craquage chez Superdrug après le
largage d'enfant en maternelle.
Puis j'ai décidé de me lancer à corps perdu dans la psychose du sourcil en les maquillant. Ma vie a re-changé. Maintenant quand je me demande ce que je choisirais entre mon eye liner et mon crayon à sourcils je me sens déchirée. Et finalement je suis partie en Angleterre. Comme j'étais moitié épuisée moitié je m'emmerdais entre deux vaisselles, je me suis mise à suivre quelques Youtubeuses. Puis à craquer mon slip chez Supergdrug et à faire des expériences assise à ma coiffeuse. Oui, j'avais une coiffeuse dans ma chambre, c'était super classe. Et ça a été la fin de ma vie. Make-up addict finie. J'ai eu ma première palette Urban Decay en rentrant en France à Noël (la Black Palette édition Pirate des Caraïbes). Le début de la décadence quoi. Depuis ça s'est tellement empiré que j'ai ouvert un blog quoi... (minhin). 

Bref. Tu vois le délire. En repensant à mon parcours j'ai réfléchi. Quand est-ce que ça a vraiment commencé, cette addiction? Oui parce qu'au point où j'en suis, c'est clairement de l'addiction. Enfin, ça se discute. Je pourrais me dire collectionneuse mais je te jure, cette nuit j'ai rêvé que j'avais un des rouges MAC de la collection du Rocky (celle qui va sortir en octobre TU TE SOUVIENS?) et que c'était archi jouissif. Et ça me rend légèrement hystérique. Même carrément. J'en viens à me retenir d'aller chez Sephora parce que ce sont des moments dans lesquels ma carte bleue se révèle être le Graal et plus rien n'existe. Un loyer? Peuh. Se nourrir? Quel intérêt! Le découvert existe, profitons-en! Quel découvert d'ailleurs? Bon, t'as compris quoi, je me transforme en acheteuse de ouf quoi. Je finis toujours par enlever quelques trucs inutiles de mon panier, mais jamais les plus chers bizarrement. 

TROP DE MAGNIFICENCE.
Pourtant, ça vient par périodes. Il y a des mois où je m'en fous royalement, je suis très heureuse de ma collection, je me maquille normalement et tout va bien. Puis arrivent des semaines où plus rien ne va, où j'ai une impression de vide, que ce n'est jamais assez, que j'ai BESOIN de ce rouge à lèvres (j'en profite pour lancer un appel: si quelqu'un veut m'offrir le Mrs. Mia Wallace d'Urban Decay, j'ai rien contre - oui j'ai un léger souci avec Urban Decay). Vu que c'est le cas ces dernières semaines, j'en profite pour écrire, tu vois.
Ca a donc commencé en Angleterre, quand je me sentais seule et que je tournais en rond. Il a fallu que je comble le manque, et j'ai trouvé ça. Et c'est récurrent. Quand ça va pas, je me réfugie dans le monde de la beauté (pour faire large). Je multiplie les masques, je scrute ma peau, mes cheveux, je passe mon temps sur les blogs, sur les e-shops rien que pour regarder, je fais et refais mes ongles... Comme pendant les quatre mois que j'ai passés en 3e dans un collège que je supportais pas, je scrutais tous les jours le moindre sourcil qui dépassait et refaisais mes ongles tous les deux jours environ. Ils n'ont jamais été aussi beaux, cela dit.

C'est futile, clairement. Mais ça fait du bien. Puis j'ai réfléchi un peu plus. Outre le fait de s'occuper de soi et de se centrer sur son nombril ce qui est toujours agréable, c'est surtout l'aspect carapace qui m'a fait tilter. Ce sont des moments dans lesquels je me sens vide et très peu sûre de moi. Encore moins que d'habitude plutôt. Alors j'ai besoin de ça. J'ai besoin qu'on me dise que je suis bien maquillée, que mes cheveux sont beaux, que mes ongles sont super cool avec autant de paillettes. J'ai besoin de me voir transformée, je ne peux pas accepter le fait que n'importe qui puisse voir les rougeurs de mes joues, mes sourcils clairs et épars qui fatiguent mon regard et mes cuticules. Les gens qui me voient sans maquillage sont vraiment ceux en qui j'ai confiance. Je trouve ça affreux de le penser, de l'admettre encore plus, mais c'est vrai. Je suis partie en vacances il y a une dizaine de jours avec des gens que je connais depuis plus d'un an et qui me voyaient pour la première fois sans maquillage. Et j'ai réussi à m'en foutre (enfin, pendant deux jours, après j'en avais marre de me voir moche j'ai craqué). Aller travailler toute une journée à nu et affronter des centaines de clients comme ça, non, c'est simplement impensable. Même si je ne me suis pas réveillée et que je dois partir tout de suite, tant pis, je mange pas rien, je vais juste me brosser les dents et maquiller mes yeux. Au moins ça. 

A force de traîner sur les blogs et sur Youtube, j'ai fini par remarquer quelque chose. Beaucoup de ces filles ont quelque chose à masquer, souvent de l'acné ou un défaut qui les gêne beaucoup et qu'elles surmontent grâce à ça. Ce n'est pas le cas de tout le monde (du moins, j'espère), mais c'est ce qui me fait penser que non, la beauté n'est pas que superficielle. C'est vouloir montrer au monde un visage (ou un corps) avec lequel on se sent en accord, c'est se forger une image parce que notre "vrai nous" nous gêne. C'est un monde futile qui redonne confiance en soi.

"Mais tu l'as pas déjà celui-là?"
Alors je suis mitigée. Je suis certaines semaines collectionneuse, et d'autres une larve vide qui a un manque à combler de ce monde aux apparences superficielles. J'aime les objets que j'achète. Ce ne sont pas que des rouges à lèvres ou des palettes, ce sont véritablement des objets de collection. Vous diriez à un philatéliste qu'il a déjà un timbre presque pareil et que celui qu'il compte acheter ne sert à rien? Là c'est pareil. Oui j'ai des centaines d'ombres à paupières et plus de 70 vernis. Mais même entre deux bleus marine, entre deux rouges il y aura toujours des subtilités qui feront que je dois avoir l'autre, même si absolument personne ne les remarque. Je trouve mes palettes magnifiques et j'aimerais qu'elles soient toutes exposées sur une coiffeuse pour qu'on les voie (ça c'est pour le jour où j'aurai une vraie maison). Chacun de ces objets ont leur histoire et me rappelle quelque chose. Ca devient addictif et je trouve que ça n'a rien d'indécent. C'est une passion comme une autre, un centre d'intérêt comme un autre. C'est un monde à part entière, une communauté de partage que j'adore, vraiment. Certains jouent à la console, moi je me maquille. Ca pousse à aller plus loin, à découvrir de nouvelles choses, à découvrir des personnes, c'est une curiosité que je trouve saine. Puis c'est ludique, je peux changer de tête (ou presque) quand bon me semble, j'adore le fait de me maquiller, de voir mon visage se transformer, la gestuelle qui a quelque chose de très particulier. Je trouve d'ailleurs très intime le fait de maquiller quelqu'un d'autre (ou de se faire maquiller). C'est répétitif et pourtant chaque fois différent, toujours un nouveau défi. C'est un moment durant lequel je suis dans une bulle dans laquelle je me sens bien.

Mais il y a l'envers de la chose. Ces moments de vide où j'en ai réellement besoin. Des futilités auxquelles je m'accroche quand je me sens mal, où les nuances d'un fard me fascinent parce qu'elles me vident la tête juste parce que c'est beau. L'idée que même si j'ai l'impression d'être un cadavre je peux arborer des yeux parfaitement maquillés ou une bouche rouge sang qui changera l'image que je renvoie aux gens que je croise. Vestimentairement ça marche aussi, les jours où j'ai envie que personne ne me parle j'aurai tendance à porter beaucoup de cuir noir avec des lunettes de soleil. Parce que je suis trop mysterious tu vois. C'est un masque presque parfait, si je ne parle pas. Personne n'aura à savoir l'état dans lequel je suis, et cette idée s'est amplifiée avec les 20kgs que j'ai pris. Lorsque j'achète compulsivement - ce que je me retiens souvent de faire sinon je vivrais sous un pont - ce n'est qu'un transfert de mon mal-être. Bon, j'achète aussi parce que quelque chose me fait très envie ou que j'en ai besoin hun, faut pas pousser mémé non plus. Mais c'est aussi parfois une idée fixe, et je ne serai pas bien tant que je ne l'aurai pas résolue. Si j'ai décidé qu'il me fallait un rose mat, alors il me faut un rose mat quoiqu'il arrive. Ca évite d'affronter les problèmes ou de les apaiser. La beauté est une bulle de bien-être dans laquelle il fait bon vivre et dans laquelle j'aime me retrouver.

Cela dit, ça aurait pu être la drogue, je suis pas trop mal tombée je trouve.
J'aimerais bien savoir ce que vous en pensez et comment vous appréhendez la beauté, ce que ça représente pour vous. 

Je vous fais tout plein de bisous.



9 commentaires:

  1. C'est pas bête du tout comme point de vue, et je m'étais fait une réflexion similaire il y a quelques temps. Le maquillage est devenu beaucoup plus présent dans ma vie à un moment où je n'étais pas très bien dans ma peau, à la fin de la fac où j'avais pris beaucoup de poids. Et si j'en porte très rarement en ce moment, c'est aussi parce que, je crois, je me sens mieux dans mes baskets.
    Ces deux dernières semaines, il y a eu la rentrée, les nouveaux collègues, les nouveaux parents d'élèves, un gros coup de stress et la sensation d'être jugée de tous les côtés. Résultat: je me remets porter du maquillage vachement plus régulièrement!
    Clairement, ce n'est pas anodin!

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    1. C'est ça, porter un masque pour affronter les autres et avoir confiance... bon au moins je me sens moins seule dans ce cas là :) mais non, c'est ni anodin ni (que) futile ou superficiel, on est au moins deux à le penser woot!

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  2. J'ai beaucoup aimé ton article, et je dois dire que je comprend le point de vue que tu proposes. Bon après moi je suis plus axé sur les soins que sur le maquillage (simplement car je me maquille très peu, ouais la nulle !). J'aime passer des heures a scruter le net en guise de nouveau graal, à comparer tout les prix pour l'avoir le moins chère possible (radiiiine). J'adore arborer de beaux vêtements qui me donneront confiance en moi ou un nouveau vernis. Comme si tout le monde allait se dire "ouaaa j'aime tellement son vernis tro bow koua" alors que tout le monde s'en fou royalement xD. J'aime utiliser et comparer pleins de masques pour le visage et les cheveux en me disant "celui-là c'est le bon !" ou "mes cheveux sont beaucoup plus doux". Scruter les compo pour avoir la meilleur possible et se sentir trop fraiche. Depuis que j'ai connu les cosmétiques coréens c'est la même chose, je ne peux m’empêcher de les collectionner, de les exposer (fièrement sur mon bureau). Tel de beaux trophée et que tant pis s'ils sont vide, je pourrais les utiliser pour la déco. Avoir tout les gloss d'une gamme et tout avoir, tout connaitre ! Trouver LE truc anti point noir, trouver TA couleur de rouge à lèvre qui te va super bien. C'est trop magique, je me sens comme une princesse quand je fais les magasins, c'est merveilleux *-* Porter des chaussures à paillettes *-* MAGIIIQUE ! Enfin voilà, je suis d'accord avec toi, aimer prendre soin de sois ne rend pas forcément superficielle (juste matérialiste...). Et pour ma part je ne comble pas mon vide inter-spatial en maquillage (vu que je me supporte sans), mais plutôt en films \o/

    Voilà, sinon ton article était archi-chouette et reflète vraiment ce que je pense. Je tiens un blog beauté, mais je suis pas une nunuche superficiel pour autant :3

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    1. Ce que j'adore avec tes commentaires c'est qu'ils sont tellement longs à chaque fois que je suis obligée de les publier pour pouvoir tout lire aha x)

      Mais oui, ça fait du bien tout ça, c'est pas forcément hautement intellectuel mais ça n'en reste pas moins passionnant. Et c'est pas pour autant qu'on est complètement égocentrées non plus, ni dénuées de cerveaux :) mais quand je dis aux gens que j'ai un blog et qu'ils me demandent sur quoi, je leur réponds "beauté" y a toujours un ".. ah okay". Limite mal vu tu sais. Bon après quand y a besoin de conseils à ce niveau là ils savent où me trouver... mais ça m'emmerde cette image superficielle.
      Et j'avais pas pensé à l'aspect matérialiste de la chose tiens, mais ça pour le coup ça me dérange moins parce que j'aime trop mes affaires x) ça m'empêche pas de pouvoir passer une semaine avec une micro trousse de maquillage et deux jupes, mais j'aime bien tout retrouver quand même. Et je garde tout c'est assez affreux x)

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    2. Oui ahah, ça m'arrive sur certains commentaires long aussi xD !

      Bah moi tu vois, j'ai plus peur de la réaction "mais t'es pas assez belle pour avoir un blog beauté toi" que le "t'es trop superficielle". Car bon en ce moment je suis tout le temps en mode jeans-basket xD
      Ah nan mais moi je me considère pas vraiment comme matérialiste, mais plutôt comme collectionneuse et j'aime pas qu'on touche à mes affaires non plus !

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  3. Je partage entièrement ton avis. Je me suis reconnue dans certains passages de ton article, c'est drôle. :) Être une fille, c'est tout un art. La bulle beauté, c'est THE univers incontournable. Avoir l'air parano dans les magasins à passer des dizaines de minutes à comparer la composition des produits, je trouve ça cool, au moins, on sait faire passer le temps "utilement". Me maquiller ça m'éclate, j'aime essayer de nouvelles choses et voir ce que ça donne sur ma tête. Fuck les gens qui disent "le maquillage ça gâche la beauté naturelle" ou "ça fait superficielle", ils comprennent rien... Je préfère sortir maquillée que sortir négligée, ça passe mieux quand même. Et puis à force, c'est tellement une habitude que ça devient une routine, dont je ne me lasse pas. Bon, le seul inconvénient, c'est quand il faut démaquiller, c'est pas ce qu'il y a de plus motivant *flemme*. J'adore collectionner des trucs (que j'utilise parfois une seule par mois). Ça comble un vide, et ça donne confiance en soi, je ne pourrais jamais m'en passer. Makeup forever !

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    1. J'avoue le démaquillage quand faut s'y mettre c'est relouu... mais c'est comme la douche je trouve, ça me gonfle toujours d'y entrer mais une fois que je suis dedans je veux plus sortir aha. Me démaquiller c'est pareil x)
      Et je trouve pas non plus que sortir pas maquillée fasse négligée mais faut réussir à l'assumer quoi. Puis y a des filles magnifiques au naturel (que j'envie d'ailleurs). Mais de toute façon pareil, j'aime trop le fait de me maquiller pour arrêter, c'est juste trop funky je sais pas c'est créatif c'est agréable tout ça...

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    2. Je disais "négligée" dans le sens mal habillée, mal coiffée, ect... Négligée de la tête au pied enfaite. C'est vrai que je n'avais pas précisé donc ça porte à confusion. x) Oui, ça m'arrive de sortir démaquillée, mais j'avoue que c'est assez rare, c'est surtout pendant les vacances d'été, à la plage par exemple, une fois dans l'eau, tout dégouline donc c'est pas super pratique. ^^"

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    3. Ouais ça me tue les meufs qui disent "et gnagna truc waterproof, très bien pour aller à la plage dans l'eau blabla". Non mais ça me viendrait pas à l'idée d'aller à la plage maquillée x) moi ton négligé j'appelle ça "sortir comme un gros pâté" aha.

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