Premiers émois avec le Flat Out Fabulous de MAC

Salut vous (j'allais écrire "toi", mais au fond de mon cœur j'espère que vous serez plus qu'un à me lire).

Lundi j'ai acheté mon premier rouge à lèvres MAC, cette beauté qu'est Flat Out Fabulous. Du coup j'en ai profité dès mardi pour te faire une vidéo sur le sujet, sauf qu'entre temps j'ai eu quelques menus soucis avec mon vieux PC tout nul pour faire le montage. D'où le fait que je publie ça qu'une semaine plus tard.

Un petit synopsis donc (parce que je te jure, j'ai essayé de réduire encore et encore la vidéo mais qu'est-ce que je parle c'est assez fou, je serais vous je me taperais). Je vous raconte comment j'en suis arrivée à l'acheter, puis mes premières impressions et un mini coup de gueule en mode Confessions Intimes.

La couleur du rouge à lèvres dans la vidéo n'étant absolument pas fidèle à la réalité, je suis pas une biatch j'ai fait des photos quand même. Comme ça tu peux admirer encore et encore...

Du blond au rose: je suis officiellement une licorne (3/3)

Salut les petits pingouins.

Aujourd'hui c'est l'heure (hum) de la troisième et dernière partie de mes aventures capillaires. Au cas où vous auriez pas tout suivi, on a eu une première partie sur ma vie (passionnant) et une deuxième sur la décoloration. Tout ça pour en arriver à ce dont on va parler maintenant: la transformation en licorne. M'enfin, la coloration rose quoi.

Oui, j'avoue j'ai mis 6000 ans pour faire la troisième partie. Non pas que l'inspiration me manque plus que ça, mais je sais paas. En fait je t'avoue, j'ai envie de changer de couleur en ce moment. Le rose ne me surprend plus, c'est presque devenu ma couleur naturelle (à tel point que ça a du mal à partir maintenant, mais je t'en parlerai plus tard). Du coup j'avais envie d'attendre d'avoir changé pour l'écrire. Mais après je me suis dit que j'étais bête parce que euh, ben vu que j'allais parler du procédé plus que de la couleur elle-même, ça serait revenu au même. Et puis bon, je savais que j'avais 150 millions de trucs à écrire sur le sujet alors j'avais pas trop le courage. Mais je l'ai trouvé alors HERE WE GO.

Devenir une licorne, c'est pas si simple. Tu vois, les gens vont forcément se retourner sur toi, déjà. Bon, moi j'en ai plus rien à péter depuis le temps, mais au début c'est pas si simple à gérer. Je me souviens que tu sais, la première fois que j'ai coloré mes pointes (back to la première partie de ma saga) j'ai pris le train quelques heures après. Y avait une vieille qui me fixait avec un regard du genre "oh ces jeunes petits punks ils font n'importe quoi de nos jours", m'enfin tu vois. Et c'était que les pointes. Alors imagine maintenant que j'ai la crinière bicolore (oui, en fait c'est pas juste rose, y a du violet aussi). Mais bon, ça me fait rire.
D'autre part, c'est pas si simple parce que c'est CONTRAIGNANT. Donc bon, faut être sûr-e de ton coup. Mais ça du coup, je vais te l'expliquer tout de suite.

Du blond au rose: je suis officiellement une licorne (1/3)

Salut les petits pandas.

Ca fait quand même pas mal de temps qu'il attend, cet article. Mais là ça y est c'est bon c'est parti allez on y va soyez prêts. On va parler...

De MES cheveux, précisément. Je vous préviens donc que vous allez lire MOIMOIMOIMOI pendant tout le reste de l'article. Ca fait rien, être narcissique de temps en temps c'est cool. Et vu que c'est long parce que j'ai une grosse tendance à raconter ma vie, je vais le faire en trois parties. Allez, go.

D'abord, petit historique rapide. Sachez que j'ai toujours été aventurière en terme de capillarité. J'adore mes cheveux, et paradoxalement, ça me fait leur faire subir les pires misères du monde. Blonde foncéé de base (sorte de couleur encore indéfinie à ce jour entre le blond foncé et le châtain clair, un colloque sur la question est prochainement organisé), je faisais des balayages naturels de temps en temps depuis la 5e (voir mes cheveux foncer, ça m'a déprimée, il fallait contrer la nature). Et puis, un jour en 3e, devant le rayon Color Pulse (RIP), je suis tombée sur un flacon rose. J'ai beau eu pleurer des rivières de sang (comment ça j'exagère?), j'y ai pas eu droit et me suis donc rabattue sur une couleur Abricot Givré. PIRE ERREUR DE MA VIE (je crois). Avec ma tronche d'aspirine à tendance écrevisse, j'aurais pas pu faire pire. Bon, une dizaine de shampoings plus tard, le problème était résolu. Je suis passée par des phases de pointes/mèches très claires sur le devant (j'ai hésité à mettre une photo, sache-le. En fait, non.) puis par une coupe caniche qui m'a fait prendre la décision de plus jamais faire confiance à un coiffeur de ma vie. Jamais. Sept ans plus tard, cette expérience me fait encore frémir d'horreur. Quand tu demandes à ce qu'on te coupe aux épaules, surtout avec les cheveux qui ondulent, tu coupes pas aux lobes. Madame, sache qu'une nuit je viendrai te tondre. Un jour. Quand tu m'attendras pas (comment ça tu m'attends pas?) Bref. Une fois les cheveux repoussés, j'ai encore été lasse. Parce que j'aime pas ma tronche, et me voir avec la même tête pendant deux mois c'est assez difficile.

Victoire capillaire ultime